

Guillaume Henry
LIVR8001
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Ce titre fait référence à une calligraphie du maître zen Taisen Deshimaru intitulé « Le cheval du vide », représentant un cheval dans un grand espace blanc. Pour les bouddhistes, le vide (qui n'est pas vide, mais plein) représente la vacuité. La vacuité est en chacun de nous, comme le silence dans une pièce bruyante. Il « suffit » d'enlever le bruit, de retirer ce qui le couvre, pour le dé-couvrir. L'homme est alors éveillé.
Dans ce roman, le cheval permet au personnage principal de s'éveiller. Mais ce qui se présente à nos yeux est souvent trompeur, il faut traverser bien des épreuves pour ouvrir la réalité. C'est l'expérience que fait le « héros » emporté malgré lui dans un tourbillon d'événements qui le dépassent, qui défient la logique de l'espace et du temps, où, très vite, sa propre vie est en jeu.
Alors qu'il pense mourir, le protagoniste découvre qu'il est dans le coma. Il comprend que tout ce qu'il croyait vivre est le fruit de sa vie d'avant, de ses recherches, de son enfance, des traumatismes qu'il refoule et qu'il lui faudra bien affronter, de sa propre résistance à voir les signes qui ponctuent chaque situation traversée et qui lui montrent sa vraie destinée.
En s'éveillant de son coma, il s'éveille, tout simplement, grâce au cheval. Car c'est bien le cheval, omniprésent tout au long de son histoire, qui lui permet d'atteindre la vacuité, de chevaucher le vide.
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